Dans un marché de l’intermédiation toujours plus incertain, vous vivez chaque jour avec une offre de biens qui se raréfie, des relations banques qu’il faut réinventer pour conserver vos conventions, et des normes d’endettement qui sont de plus en plus contraignantes.
Face à cette situation que nous espérons conjoncturelle, votre réflexion stratégique vous amène nécessairement à trouver de nouveaux relais de croissance.
Les plus classiques consistent à se positionner sur le marché du regroupement de crédits et de la consommation, de l’assurance de personnes dont l’assurance emprunteur, voire à la commercialisation d’immobilier neuf.
Il reste selon nous une pépite à travailler qui aujourd’hui reste à plus de 90% du marché, détenue par les banques en direct, c’est le financement du professionnel.
Financer un professionnel, c’est quoi ?
2 grandes catégories se dessinent :
1) Les besoins personnels du professionnel
Il s’agit d’accompagner ces professionnels dans le financement de leurs investissements personnels : résidence principale, résidence secondaire, investissement locatif en propre ou en SCI, mais aussi dans leurs regroupements de crédits.
2) Les besoins professionnels
La palette est large et ne se limite pas à l’investissement matériel.
Financer un professionnel, c’est prendre en compte toutes les dimensions de l’entreprise, en partant du haut de bilan mais aussi en accompagnant le financement de l’exploitation.
Qu’est-ce que le courtier peut prendre en charge ?
Le créateur d’entreprise
Il s’agit d’ accompagner un créateur dans la mobilisation des fonds nécessaires au lancement de son entreprise. Cela va bien au-delà de la demande de financement classique. Le courtier se positionnera en intermédiaire et en « sachant » permettant de conseiller au mieux le créateur : constitution des apports, demandes de financements, aides des acteurs publics (dont BPI), des acteurs privés (France Active), analyse financière du projet, prévisionnel en lien avec l’expert-comptable, etc.
L’entreprise en phase d’investissement
Le travail de conseil consiste à trouver les meilleures solutions pour le financement des investissements, entre utilisation des fonds propres, endettement, voire crédit-bail ou autres techniques de financement. Dans son analyse, le courtier se projettera avec son client pour imaginer les conséquences des décisions stratégiques prises, notamment sur l’exploitation et les besoins de financement à court terme générés par ces décisions.
Faut-il être un expert de la finance pour entrer sur ce marché ?
La première démarche du courtier consiste à vérifier auprès de ses partenaires bancaires qu’ils sont ouverts à la démarche et susceptibles de prendre les dossiers. Le courtier n’est pas un expert de la finance mais doit maîtriser quelques fondamentaux, et avoir l’appétence à ce marché. Le plus que le courtier peut mettre en avant, c’est sa connaissance de l’environnement et des banques.
Les compétences à mobiliser peuvent être résumées à :
1. Une capacité à une analyse financière simple des comptes de l’entreprise, et au respect des grands équilibres financiers,
2. La maîtrise des techniques de financement et des garanties,
3. La capacité à mesurer les conséquences des décisions prises et des solutions préconisées
4. La connaissance de l’environnement des entreprises : avocats, experts-comptables, conseils, BPI, acteurs locaux, chambres consulaires…
5. La capacité à négocier avec des experts dans la banque. Exemples :, conseiller pro d’une banque, crédit-bailleur immobilier
Et si vous franchissiez le pas ?
C’est un des domaines de compétences d’Axélérance.
Nous avons conçu un cycle de formation de 3 jours, permettant aux stagiaires de se former sur les fondamentaux que nous avons évoqués.
Cette formation opérationnelle et pragmatique peut être réalisée pour vous et vos équipes. A l’issue de la formation, chacun aura acquis le socle permettant soit de se lancer sur cette activité, soit de consolider ses compétences.
Cette formation peut être prise en charge, tout ou partie par votre OPCO.